Un joyeux bricolage. L'objectif étant de faire une table de travail ajustable et fonctionnelle. Pour l'esthétisme et le choix des matériaux il faudra repasser. Voyons ça comme une étude de concepts qui semble se tenir debout.
- Le pied avec alimentation électrique. Un seul fil va au mur. Un système de fil de balayeuse qui se rembobinne de lui-même s'en vient (pour faciliter le transport).
- Toute l'alimentation électrique est au même endroit et se promène avec la partie centrale (amovible).
- C'est un système de poulie qui divise la force nécessaire à soulever la charge. Les trucks de skate servent à stabiliser le tout.
- Le centre de gravité est bas pour éviter que la table bascule pendant le transport et surtout quand la tables en position "debout". Toute la table est montée sur des grosses roues industrielles qui se bloquent au besoin.
- rien de spécial.
- Côté gauche. Rien de bien particulier sinon que le pied de l'écran est sur la planche du bas pour que les écrans arrivent flush sur le plan de travail. La tablette du haut est coupée en coin pour permette la rotation du moniteur.
- Côté droit. On voit les trucks de skate en avant et en arrière de la colonne. Ils se complètent pour maintenir la partie amovible en position verticale sous le poids de la table, surtout pendant le mouvement.
- Côté gauche. On voit que le bras canadien est fixé, lui aussi sur la partie mobile. Il permet d'ajuster la position du clavier et de la souris sur les 3 axes, et ce, indépendamment de la partie sur laquelle les écrans sont assis.
- Tout le câblage passe autour de la partie mobile de sorte qu'il y a pas un esti de fil en avant. La partie de derrière est en attente d'une subvention de plusieurs millions de dollars pour le réaménagement et la pollution par les fils.
- Si on s'éloigne un peu, ca donne une construction peu conventionnelle comme ça.
- Position de transport. Le plateau se range. La table passe dans les cadres de porte sans tout bosser au passage.
- Vue de coté, position de transport. Le plateau a un lanière de bois (à gauche) qui sert à ramasser moins souvent le clavier par terre quand on donne du gaz.
- Bras canadien vu d'en t'sous. Le plateau est à suffisamment rigide pour qu'on repose le poids des bras dessus mais il est aussi suffisamment mou pour qu'on puisse jouer avec. Le bras canadien est fixé sur le plateau le plus "au fond" possible (le plus loin de l'utilisateur) pour rendre l'effet possible. J'ai même un jour remarqué, que ça fait de l'espace pour les jambes.
- Tout le poids repose sur un système de poulies. Le poids est réparti sur 4 câbles, ce qui divise par 4, la force nécessaire pour soulever la charge.
- Un peu de plomberie et un peu de rod pour retenir les tapis dans les escaliers extérieurs pour faire une poignée. Un morceau pour adapter un boyeau d'arrosage et un gros ring pour faire une assise sur laquelle le shaft va tourner un peu mieux que sur du bois.
- Un peu d'improvisation pour faire un "lock". Même si la table ne redescend pas d'elle même ... des études on démontré qu'on a moins de chances de faire voler son vélo si on lui demande de nous attendre avec un cadenas.
- Le défi du jeu était de permettre le déplacement du tablier. Il est possible le descendre jusqu'en bas et de travailler assis par terre comme debout.
- padam!
- Voyez-vous comme c'est barré?
- motion!
- La table tire profit de 2 systemes mécaniques élémentaires. Un système de poulies doubles divise par 4 la force requise pour soulever une charge.
- La manivelle, est un systeme de levier qui divise à son tour la force requise. À l'aide d'un seul doigt, on soulève la table et son contenu.